calmars que nous ferons frire à St Pierre,
où nous arrivons de nuit.
Au passage du Précheur, à quelques mètres de la cote,
je flaire les odeurs de cuisine des maisons toutes proches.
Au point du jour nous sommes éveillés par les collégiens
dont nous avions squatté l'abribus de carbet!
J'appelle mon ami Olivier Larade, tout étonné de me revoir
dans ces circonstances.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire